Voyage En Belgique, Vers LEnfer. (3/20)
Olga, je vois quelle est prête met lui son collier.
Je tourne la tête. Olga se dirige vers le placard quelle a déjà ouvert et où elle a récupéré la cravache quelle repose.
Je la vois prendre des objets que je ne peux voir.
Elle revient me montrant sa chatte intégralement épilée, tenant dans ses mains le collier demandé par maître Hugo.
Il est bleu et a environ 2 cm de large, lautre objet est une pince spéciale qui va lui permettre de sertir les deux parties avec un rivet.
Jai un léger mouvement de recul vite réfréné lorsque mon amant me saisit le bras quil sert à men faire mal.
Avance ton cou !
Je me mets à quatre pattes et exécutant sa demande étant entièrement asservie, javance ma tête afin de le recevoir, prestement elle me le place et engage le rivet dans son logement.
Le collier est très ajusté et la pince a du mal à passer et me blesse légèrement.
Lopération est rapide et me voilà affublée dune lanière de cuir que je vais avoir du mal à enlever en entrant à la maison.
Olga, viens sur le lit et bouffe lui la chatte.
Elle sexécute et commence à me lécher la vulve.
Je nai jamais eu de rapports sexuels avec une femme, sauf avec Noémi, une jeune femme de trente-deux ans qui faisait partie de notre groupe du mardi, elle a mystérieusement disparu du jour au lendemain en envoyant une lettre à Alice.
Elle lui disait quelle retournait vers son ex à Bordeaux pour quil puisse voir grandir ses filles de quinze ans et 6 mois.
Cest ce bébé qui a été à lorigine de ce qui sest passé entre nous, je suis allé le voir chez elle un après-midi, elle lui donnait la tétée, son sein était sorti et encore gonflé de lait.
Après lui avoir fait faire son rot et replacé dans son couffin elle est venue sasseoir à mes côtés pour se nettoyer et refermer son corsage.
Jai aperçu une goutte-de-lait à la base du sein quelle navait pas retiré, je lui ai saisi le coton pour les enlever, mais pour faire cela proprement jai été obligé de lui enserrer le sein avec ma main libre, jai dû appuyer un peu fort, car un jet de lait est sorti.
Tu as beaucoup de lait, il sort tout seul !
Oui, bébé ne manque de rien.
Jappuie une nouvelle fois et un deuxième jet sort.
Veux-tu goûter ?
Jai toujours voulu savoir quel goût avait ce lait lorsque jai eu mes s mais ma pudeur mon toujours fait reculer, javance ma bouche et jappuie, un jet par en biais et viens sécraser à côté de mon nez.
Cest naturellement que ma bouche a aspiré son sein, je me suis mise à la téter comme le nourrisson venait de le faire, elle devait trouver du plaisir à ce que je lui faisais, car jai senti sa main mappuyer sur ma tête.
Jai pris conscience que la situation était anormale, bien que japprécie et le goût et le faîte de téter, jai reculé.
Nous nen avons jamais reparlé.
Cette femme que je ne connais pas et qui me broute le minet me donne du plaisir, elle doit avoir lhabitude de pratiquer lamour entre femmes, car elle fait pivoter son corps et me présente sa vulve à hauteur de ma bouche.
Suce là !
Lordre de mon Maître est tombé comme un couperet.
Une fraction de seconde, jai envie de ne pas répondre espérant les sévices qui me plaisent de plus en plus, cest la chatte de femme que je nai jamais sucée de ma vie qui lemporte.
Je plonge mon nez dans sa fente afin décarter ses lèvres intimes, jaime les sécrétions quelle distille sur ma langue.
De son côté, elle me fait jouir plus vite que je ne laurais voulu, montrant la servitude que ce couple produit sur mon corps.
Je maccroche pour ne pas la louper, jai joui, je veux quelle jouisse aussi et fasse de moi une vraie lesbienne, jarrive à mes fins lorsquelle menvoie au fond de ma bouche des petits jets que je ne mattendais pas à voir sortir dune fente féminine.
Elle tombe sur le côté, je suis heureuse, le Maître va lêtre aussi.
Lorsquil saperçoit que je reprends vie, il va vouloir se servir de moi quitte à me faire fouetter selon son bon plaisir.
Fiche le camp, salope.
Au lieu de me récompenser, il me chasse ne me laissant même pas le temps de récupérer mon imper et mes talons haut que javais mis pour marquer la courbure de mes reins.
Au moment où je vais passer la porte, il mappelle, je me retourne espérant quil veut de moi, Olga est entre ses jambes et lui suce la verge pendant quil plonge ses doigts dans sa fente.
Deux choses, si tu essayes dôter ton collier, nous savons où se trouvent tes s et tu ne les reverras jamais.
Sète, ça te dit quelque chose ?
Demain après neuf heures tu relèveras la boîte aux lettres où tu trouveras des instructions, maintenant dégages, on ta assez vu.
Je sors, dès que je passe la porte, des larmes coulent à flots sur mon visage.
Jai du mal à rentrer chez moi, car mes pieds me font souffrir sur les cailloux qui jonchent mon parcours et surtout ma nudité qui me rabaisse au niveau quHugo à souhaiter me mettre.
Le froid, la pluie et la menasse sur mes s me glacent le sang, jignore lheure quil ait, il ne manquerait plus que Pierre soit rentré.
Il nest pas là, je me douche et cherche une solution au collier, sa vue dans la glace de ma salle de bains au lieu de meffrayer me donne des sensations qui descendent jusquà mon bas-ventre.
Si mon Maître ma mis un collier me liant à lui, ce doit être dans notre intérêt, tant quil me le fait porter, cest quil tient à moi et un jour prochain, il me prouvera que je ne me suis pas trompé.
Je viens de mhabiller lorsque Pierre arrive. Il ne met pas trois secondes à remarquer le collier bleu que je porte.
Un nouveau bijou ma chérie ?
Cest Alice qui men a fait cadeau, cest la nouvelle tendance en ce moment. Te plaît-il ?
Cest spécial, tu pourrais être prise pour une femme qui ait soumis à un seigneur et Maître, si ce Maître, cest moi, pourquoi pas !
En me disant cela, il sapproche pour me prendre dans ses bras.
La voix de mon Maître résonne à mes oreilles.
« À part lacte sexuel quune femme doit à son mari, tu ne te donneras pas à lui pour trouver du plaisir. »
Je le repousse prétextant mon indisposition mensuelle.
La nuit est interminable, je compte les minutes au début et plus lheure fatidique qui va celer mon existence avance et plus jen arrive à descendre aux secondes.
Pierre part comme tous les matins, je fais celle qui dort, mais je suis comme une pile électrique.
Neuf heures, jouvre la boîte, un paquet y est déjà, je le saisis et je cours pour louvrir au sec à cause de la pluie, à lintérieur deux CD et une lettre.
Sur les CD deux chiffres 1 et 2.
Jouvre la lettre.
« Va à ton lecteur, je sais que tu en as un et démarres le CD numéro 1.
Je me dirige immédiatement devant notre télé, le CD démarre, les images qui défilent me glacent le sang, je me vois entrer dans la chambre, aller vers la table et me dévêtir.
Lune des caméras, car je me vois sous un autre angle sucer Hugo et Olga entrer et aller chercher la cravache pour labattre sur mes fesses.
Mes yeux sont exorbités lorsquun zoom est fait sur ma figure lorsque je suce Olga qui me projette ses sécrétions au visage.
Je revis les humiliations quil minflige en me renvoyant, les images sont une chose, mais le son qui accompagne les images est plus insupportable à entendre, je suis tombé très bas lorsque je limplore quil me prenne.
Jai mal quand je vois la moue dédaigneuse quil fait et que je nai pas vue sous langle où je me trouvais, les images sarrêtent, je change le CD.
Hugo apparaît et me parle.
« Léa, tu as vu à quel niveau de déchéance, jai réussi à te réduire en une seule journée, deux solutions souvrent à toi, où tu prends une pince, tu coupes le collier et tu viens le déposer dans ma boîte aux lettres.
Tu pourras retourner à ta petite vie fade fondée sur ta simple réunion avec tes copines le mardi après-midi, si tu choisis cette solution, tu nentends jamais plus parler de nous.
Jespère que tu choisiras la deuxième, tu viens demain après midi chez moi après avoir été à ladresse indiquée sur le papier rencontrer un médecin à 10 heures qui tenlèvera ta toison au laser.
Jaime les chattes imberbes et par cet acte, tu me prouveras ton amour et ton asservissement, je te promets un après-midi de rêve pour tout ton être, tu jouiras comme jamais.
Ce soir, tu seras assez persuasive avec ton mari pour qu'il tautorise à devenir ma secrétaire pour partir chaque semaine avec moi dans différents pays.
Fin de semaine, on te conduira dans un hôtel près de tes s où tu resteras le week-end avant de revenir vers moi, nous travaillerons ensemble jusquà ce que je décide de te tenlever mon collier.
Afin davoir des atouts pour signer ce contrat de travail, qui se trouve dans ta boîte dès maintenant, je tautorise à te servir de tous tes charmes pour convaincre ton mari, pour une nuit seulement, il pourra tout avoir de toi. »
Le CD est terminé, je regarde les 2 CD une fois, non 4 fois en buvant les mots de celui qui ma fait chavirer...
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